La Chambre africaine de Commerce et de Service ouvre sa 3e antenne en Côte d’Ivoire

La Chambre africaine de Commerce et de Service (CACS), lancée en novembre 2020 à Dakhla au Maroc, continue sa conquête africaine. A ce jour, elle a ouvert sa 3e antenne à Abidjan en Cote d’Ivoire.

Après N’Djamena au Tchad, le 9 mai 2022, et Lomé au Togo, le 17 juin, la CACS conquiert d’autres capitales africaines. En fin de la semaine dernière, elle a ouvert sa 3e antenne, à Abidjan (Côte d’Ivoire). L’annonce est faite par Abdelmounaim Faouzi, président de la CACS, et également président fondateur de Wamer Holding.

«Le partenariat avec la Chambre de commerce et industrie marocaine en Côte d’Ivoire a rendu possible cette ouverture, permettant ainsi une large connexion de nos réseaux respectifs», explique le dirigeant. Lequel a profité de l’évènement pour rencontrer les opérateurs dans la capitale économique du pays d’Afrique de l’Ouest, afin de leur exposer les potentialités de la Région Dakhla-Oued Ed-Dahab et les opportunités rendues possibles par les nouvelles infrastructures qui y ont été développées par le Royaume.

L’évènement a bénéficié du soutien de Yanja El Khattat, président du Conseil de la Région Dakhla-Oued Eddahab, et de Abdelmalek El Kettani, ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, qui ont invité les entreprises locales à s’intéresser aux zones économiques liées au futur port Dakhla Atlantique. L’enjeu étant d’accompagner les entrepreneurs dans leurs démarches de création et de développement d’entreprises commerciales, industrielles ou de services.

Plusieurs missions entrent dans la mission de la Chambre africaine de commerce et des services de Dakhla (CACS). Acteur-clé dans la promotion de Dakhla comme hub économique d’Afrique de l’Ouest, À commencer par promouvoir les relations commerciales et industrielles entre les acteurs économiques marocains et ceux des autres pays africains ; renforcer la compétitivité des entreprises membres de la CACS, à travers la formation, le renforcement capacitaire, le conseil, l’incubation et l’accélération des start-ups ; faciliter l’implantation et le développement des entreprises marocaines dans les autres pays africains, et inversement ; et développer le potentiel international des entreprises africaines en général, et marocaines en particulier.

source : tchadinfos.com/

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